"spinoza encule Hegel ne pouvait être écrit que par Jean-Bernard Pouy. C'est le deuxième été après « le grand merdier ». Des bandes futuristes de néo-punks et de bikers se réclamant des plus grands philosophes se massacrent pour des femmes, de l'essence et des principes nihilistes. Ça saigne dans le no man's land qu'est devenu le pays. Julius Puech, dirigeant de la fraction armée spinoziste arbor un P 38 et des bottes de lézard mauve. La Cinquième Internationale est là et le récit complètement déjanté... Pouy, devenu depuis une figure incontournable du polar français, a signé avec ce premier roman une satire féroce de mai 68. Un petit régal inclassable, inégalé et joyeusement libertaire."
"« À sec ! : Spinoza encule Hegel, le retour » Jean-Bernard Pouy
! est présenté comme la suite de Spinoza encule Hegel. Si l’on ajoute que c’est un livre sur le foot, tout est dit. Quoique... C’est aussi une grande aventure poétique qui malmène Maine de Biran et convoque Hegel et l’Internet.
Plusieurs années ont passé depuis l’affrontement apocalyptique entre la fraction armée spinoziste et les Jeunes hégeliens [voir à ce sujet le premier épisode, intitulé fort à propos Spinoza encule Hegel (qui l’eût cru ?)], qui s’est soldé par leur extermination réciproque. Spinoza, seul survivant,coule une retraite heureuse aux fins fonds de l’Inde. Mais voilà que les rejetons de l’affreux Hegel entrent en scène... Notre héros, chaussé de ses inévitables bottes de lézard mauve, et juché sur son motoguzzi vert, fait donc un come-back foudroyant, histoire de prouver à nouveau la supériorité de l’éthique sur l’esthétisme. À grands renfort de mitrailleuse lourde.
Durant l’intervalle, l’Europe a quelque peu changé : le foot est devenu l’unique ciment d’une société en cours de reconstruction, les kops de supporters ont remplacé les groupuscules gauchistes, et ceux-ci ne se jettent plus leur défi sur les ondes de radio cinquième internationale, mais sur Internet. Mais la violence, elle, est toujours là.
C’est donc bien une suite au sens hollywoodien du terme : l’intrigue est la même, seul le décor change. On avait du Mad Max à la sauce post-68, on passe à Mad Max sauce coupe du Monde 98. On y perd en mythomanie gauchiste, mais voir les adeptes de la baballe s’en prendre plein la tronche en ces temps d’occupation n’est pas franchement déplaisant. Et J-B Pouy est toujours aussi percutant."
je le conseille a tous paske c vraiment plaisant a lire pr qui est svt atteint de fantasmatike révoltuionnaire bordéelik
sachez bande de veinards qu'un troisieme est sorti que g pas enco lu ce qui ne sorait tardé .
en plus sa se lit façilement c âs mong don cpr tout ceux qu'on du mal avec les livres sa peut etre un boukin rendant acessible le plaisir de la lecture
voila donc deux avis sur els deux livres qui résume bien la chose