Bon ben c'est dimanche alors bordel de mots il faut!
Faute de m'amuser hier soir me suis venger sur le papier.
Léger pour monter
Aujourd'hui je me sent léger! Alors pourquoi ne pas monter!
Aujourd'hui c'est décider! je sors de chez moi je vais grimper!
Léger, léger, pour monter.
Je me lève, action vers le soleil, la porte puis je sors direction
Montmartre la haut perché.
Tout commence de façon lourde par la descente de mes escalier,
la cour, petit couloir, deuxième cour, grand couloir, et enfin la rue.
Entre ces bâti me monte la gnôle, je remonte tourne
les bars a bières de place Clichy, je ferme les yeux sur Pigale.
C'est vrai quoi, j'ai quitté mon divan pour le monde et ses gentils martyrs.
Je ne sais pourquoi ce quartier,
peut être pour son air si léger pas trop pollué,
ou encore sa vue sur le lourd béton de cette ville paris nommée.
Aussi car je me doit d'entrainer des jambes marqué par l'oisiveté
avant le doux vent des anges du beaujolais.
Brèves de douces pensée je continue mon ascension,
souris d'avance aux personne que je vais croisées.
En face de moi la vrai montée, je me prépare l'esprit léger a déambuler dans ce beau quartier qui a lui seul me rend capable de vivre dans cette ville de taré.
Je monte, je monte sans m'arrêter, je sue de bonheur.
Je boirais bien un verre mais c'est blindée,
les jolies pavés sont remplis de terrasse toutes bien animé.
Tous ces gens plein de fun autour de leur table circulaire,
me font oublier mon envie d'assoiffé.
A mi grimpette de la rampe la plus longue, une guitare et son chapeau me rappel la bohème, les accent mélanger comme les couleurs des fleurs dans lesquelles je m'élève, m'aides a ne plus pensée si ce n'est de rêver.
Voilà le sacrée cœur et bien loin est de suivre le mien, je suis vanné, pourtant j'aime ça, de plus, les lourd sont rester en bas,
trainons avant de rejoindre le plomb.
La, des petit vieux prêt a crevée mais toujours émerveiller
par la beauté de ce passé, tel les touristes stupéfait
qui remplissent la place aux crayons de papiers,
je continue a vagabonder, tout le monde sourit dans ce quartier!
Mon espoir est revigorée.
Je tourne, j'erre, jamais blasé, jusqu'au moment,
ou fatigué je me dit qu'en bas je doit allé.
Alors je descend toujours ravi par la vie présente ici haut,
qui a jamais dans mon cœur donneras
splendeur.
Comment faire durée ce doux plaisir?
Je cherche, fouine, arrive au coin d'une petite rue,
et là, enfin une terrasse peut fréquenté, je me pose,
et vais continuer a regarder les badauds,
tout en dégustant mon bœuf braisé
accompagner de mon pichet.
Une fois repus et ma cigarette allumé,
je vais rentré. Une chose est sur c'est qu'aujourd'hui,
j'étais léger, léger, alors je suis monté.
Et pour faire partager, je rentre vous le conter.
Psytok ;o)